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Bonnes Fêtes !

Alors que l’ambiance est morose coté productions de volailles festives, que les difficultés en tous genre s’additionnent, ne perdons pas le sens de ces Fêtes de fin d’année, que nous vous souhaitons joyeuses.

Certains produits viendront à manquer dans les prochains jours, mais il nous reste beaucoup de bonnes idées de repas pour des moments de grande convivialité

Rôtis de magret, Canard à l’Orange, Confit de canard: à vos recettes ! La simplicité d’emploi de ce que nous avons préparé pour vous, les nombreuses associations de saveurs possibles avec le Magret, vous laissent un choix important pour étonner, régaler, découvrir.

La boutique regorge d’idées cadeau autour d’une bonne table: laissez vous guider par vos envies !

Bon bout d’an !

Composition à la carte
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Le + de l’été (modifié)

J’aurais pu titrer le – car c’est sûr, il n’y aura pas de Magret Party cette année.

La production, très perturbée par la grippe aviaire de cet hiver, reste très réduite. Jusqu’à ce que les canetons aient eu le temps de devenir des canards (3 mois). Retour au rythme de croisière en septembre. Et en attendant une offre de magret IGP Sud-Ouest minimale (réservée au magasin et au suivi des ventes de nos spécialités). Les mesures anti-Covid font le reste …

Composez votre plateau apéro, et dégustez (à la maison) !

Bel Eté avec nos produits.

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Labels vs Confiance..

Je vous recommande la lecture d’un article à charge paru dans “Marianne”sur l’évolution des pratiques pour la production de bon nombre des produits agricoles, dont je reproduis l’introduction ci-dessous. Je ne suis pas toujours de l’avis des critiques gastronomiques (qui n’ont pas beaucoup de regard sur les produits de la restauration de masse), mais là, je trouve qu’il y a de quoi animer le débat.

J’ai toujours préféré la confiance à la référence globale à un idéal pour fidéliser notre clientèle. J’ai toujours alerté sur les miroirs aux alouettes et le différentiel entre ce qui est imaginé et demandé d’un côté, et ce qui est possible (économiquement et réglementairement) de l’autre. Aujourd’hui, nous y sommes, le peuple est alerté et tombe de haut !

J’aurais toujours l’envie de bien faire le travail, de fournir des produits en en maîtrisant (c’est à dire en connaissant) l’origine. Tout le reste ne serait que manipulation et effet marketing. Cette honnêteté m’a certainement coûté une situation financière plus confortable, mais elle est tellement agréable à vivre !

Garder un oeil critique sur les vérités qu’on nous livre, accorder la confiance quand elle est méritée, choisir la diversité et fuir les standards. Voilà ce qui me motivera pour vous apporter cette différence.

A bientôt !

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Agriculture


Scandale des tomates sous serre: ils ont décidé de tuer le bio

Les eurocrates en sont persuadés, on peut produire des tomates bio sans qu’elles voient jamais le soleil. Ils viennent d’apposer le sigle AB à ces fruits produits sous serre, malgré un bilan carbone problématique.
C’était écrit. A partir du moment où le consommateur prenait conscience des enjeux alimentaires, où l’agriculture durable devenait une priorité pour sauver la planète, se ravisant soudain, ceux-là mêmes qui dénigraient le bio, le tournaient en dérision, lui reprochaient d’être une niche à bobos, se sont fait un devoir de le récupérer. Quand la lubie de quelques illuminés devient une part de marché, la machine à engranger les profits se met en marche. Pris d’un accès de lucidité financière, ils s’expriment la main sur le cœur, avec la même ferveur que des résistants de la dernière heure, pour dire tout le bien qu’ils pensent du bio, alors que les crachats dont ils ont maculé cette idée vingt ans durant ne sont pas secs. Céréaliers, semenciers, petits et grands distributeurs, syndicalistes et banquiers agricoles (ce sont les mêmes), politiciens férus de mondialisation, technocrates euro pervertis, tous fossoyeurs de l’agriculture française et tisseurs de corde pour paysans ruinés, les voici aujourd’hui nous expliquant l’urgence à changer les codes de production. …/…

Par Périco Légasse, Marianne, le 16/06/2019 à 12:00
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Magrets Parties 2017, clap de fin

Un grand merci à vous toutes et tous qui avez participé:

Magret Party 2017
Magret Party 2017 – (c) Lucas TIRARD COLLET

Une date supplémentaire fin août, un taux de remplissage supérieur à 100% (on a sorti tout ce qui pouvait servir de table),
Un été absolument sec, pas d’orage, mais un peu de poussière
Une anecdote grinçante: le déplacement d’une colonne de pompiers en raison d’une fausse alerte due à la fumée du barbecue. [La prochaine fois, on invitera le CCF!].
Quelques affiches arrachées (c’est pas bien d’être jaloux), mais ça n’a pas eu d’importance
8 soirées marquées du sceau de la bonne humeur partagée!
Quelques déçus: ceux qui ont trop tardé et que nous n’avons pas pu accueillir. Ils sont prévenus:
en 2018, on remet le couvert !
En Juillet et en Août, le mercredi c’est Magret Party! sans hésitation
(pour être informé de l’ouverture des réservations, inscrivez-vous en page d’accueil, abonnez vous à notre page FB)
Un truc à améliorer: le tri sélectif (on en reparle) et pas de mégots par terre (pensez à mon dos!)
Allez, fini les ‘vacances’, on a du pain sur la planche..

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Le Mercredi, c'est Magret Party !

La dixième année pour cette soirée, née d’une boutade, devenue incontournable.
Réclamée, attendue, elle est devenue une référence et fait des émules; que c’est bon d’avoir été les premiers à proposer ‘un truc sympa’ en pleine semaine! C’est pour cela qu’il faut réserver sa place.
Pour faire simple, ça sera toujours le mercredi, de début juillet à fin août: on ne se pose pas de question; le Mercredi, c’est Magret Party (et pour les affiches c’est plus simple)Magret PartyNous nous mettons en quatre pour que votre soirée soit un agréable moment,
et, toujours en quête de ‘petits plus’, cette année, la bière artisanale sort des canettes et nous vous la proposons ‘à la pression’. (à consommer avec modération , bien sûr). De quoi agrémenter les chaudes soirées ‘barbecue’.
 
Magret Party
Magret Party
Magret Party

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Grippe Aviaire, le thriller …

L’actualité est bien morose, l’épisode vire au feuilleton noir …

Je vous livre quelques articles de presse qui résument bien la situation telle qu’elle est (depuis plus d’un an maintenant).

un article de début 2016, en pleine (1ère) crise : Derrière la crise aviaire l industrie en embuscade

description de la nouvelle donne à l’échelle du monde : Des foies gras hongrois et bulgares

aucune perspective d’amélioration en vue, pas de plan B non plus : crise aviaire la vaccination des canards est impossible – sud ouest.fr

la crise vue de chez un éleveur : en direct de nogaro_ avec les canards en colère

la synthèse : la lutte contre la grippe aviaire et ses incohérences – décider et entreprendre

et maintenant ? : Grippe aviaire abattage massif de canards mesures préventives est-ce une solution

Étrangement, les grosses entreprises concernées ne communiquent pas. Pire, elles participent, lorgnant déjà sur les gains générés sur la dépouille de la profession: l’enseigne Leclerc, (vous savez celle qui se présente comme le discounteur soucieux de votre pouvoir d’achat) promotionne des produits importés de Hongrie ou de Bulgarie et les vends plus cher que ceux produits en France (ben oui , y’en a bientôt plus !), Intermarché (le mousquetaire commerçant producteur !) oublie de soutenir FORTEMENT ses producteurs-fournisseurs (j’ y ai vu des ‘promotions’ des marques Labeyrie, Montfort) . Le consensus semble adopté. Le fossé entre les gros et nous se creuse… consolidé par des mesures de bio-sécurité qui tendent à isoler les fermes, en les rendant inaccessibles à ceux qui ne seraient pas ‘autorisés’ (les adeptes de visites ou d’achats à la ferme par exemple).

Les pouvoirs publics, par leur exagérations, provoquent la mise au ban d’un secteur qui sera bientôt présenté comme dangereux pour la santé parce que non ‘aseptisé’ de A à Z. Comme pour les ateliers de transformation quelques années en arrière, (je parle ici en toute connaissance de cause), la ‘normalisation’ à outrance va forcément faire le jeu de l’industrialisation. En poussant un peu, ils pourraient peut être interdire d’amender un champ bio avec du vrai fumier ‘fermier’, histoire de redonner du lustre à l’industrie des engrais ‘NPK’.

Vivre de son travail à la campagne peut susciter des jalousies !

Nous travaillons ‘au jour le jour’, coincés par une gestion de crise sanitaire qui ne semble pas être bien maîtrisée. Aucun signe de ralentissement de la progression de la maladie. Horizon à une semaine, pas de visibilité, pas de date pour une reprise du coté des élevages: la pénurie de produits ‘Sud-Ouest’ risque d’être assez longue, trop longue …

Quoi qu’il en soit, nous persévérons dans notre engagement : pas d’autre origine que celle de l’élevage labellisé (IGP et Label Rouge Sud-Ouest) pour nos produits.

Nous comptons sur votre discernement: méfiez vous des imitations, sachez comprendre ce qui est mentionné sur l’étiquette, usez de votre pouvoir d’acheteur, dans les magasins, au restaurant (d’autant plus que vous ne voyez pas d’étiquette). Vous pouvez choisir de dire NON à la malbouffe maintenant ! Dans quelques mois, il sera trop tard.

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Grippe aviaire, J-1, raté !

La Nature a gardé l’avantage sur notre bureaucratie. Et çà, c’est plutôt rassurant!
Mes craintes (voir mon billet de février dernier) se réalisent: pas besoin d’être dans les hautes sphères déconnectées pour comprendre. Décréter un vide sanitaire ‘généralisé’ à l’échelle d’une région dans l’espoir de bloquer le déploiement d’une épidémie virale d’envergure mondiale, pisser dans un violon, ou bien encore peigner la girafe, autant d’expressions pour décrire une opération dont le sens ou l efficacité est nulle.
A lire et relire le peu d’infos qui sont ‘distillées’ dans les communiqués d’un ministère de l’agriculture bien mal inspiré, je me dis que la crise n’est pas prête de connaître son dénouement. Que les pouvoirs publics naviguent à vue, en recommandant le plus grand civisme et appelant au comptage des décès de l’ avifaune (hors activité de chasse bien entendu). Ou que personne ne veut assumer l’énorme bourde du printemps. Ainsi donc, Pasteur, Jenner, Bernoulli, et avant eux les Indiens et les Chinois étaient des idiots qui n’avaient pas voulu des vertus du vide sanitaire.
L’échec des mesures prônées par nos ‘dirigeants’ est maintenant évident: la faute à cette variante du virus, H5N8, déjà connue, envoyée par ces peuples de l’Est de l Europe, qui n’aurait aucun point commun avec le H5N1 de l ‘an dernier, ou le célèbre H1N1 qui fait peur. Et dire qu’ à un jour prêt, le 3 décembre, le coq gaulois aurait pu crier victoire, les gros négociants retrouver leurs clients à l’export (CA 270 M€), soulageant ainsi le marché intérieur français saturé. Après le black friday, les 16 M€ au Loto, le jackpot de Noël était en vue. Au lieu de cela, et pour commencer, 18000 canards (tous issus de très gros élevages -nouvel axe de réflexion?), (l’équivalent de 8 années de notre production) seront sacrifiés, érigés en dernier rempart contre la maladie qui grignote la carte de France à la vitesse d’un vol de migrateurs (ils ont bon dos!). Un coup de vent contraire (corollaire au vide sanitaire) aurait pu faire l’affaire. Mais il y a des jours sans …
Aucun argumentaire technique n’est étayé, on fait de la fumée en promettant des mesures fortes: le virus va laisser la place, foi de préfet du Tarn, sans tarder qui plus est (dès que le flux migratoire cessera, en langue de bois). Les ‘représentants’ de la profession minimisent les effets économiques d’ une impossibilité d’exporter imposée par un règlement international que personne ne propose de revoir dès lors que la santé humaine n’est pas menacée (mais au fond, en est-on si sûr?). Ils ne font que reprendre le discours convenu des ‘autorités’, protégeant ainsi leurs arrières et leurs indemnités durement négociées (et reconduites?) à chaque alerte, en tentant de rassurer les ‘marchés’ et le Français moyen (qui est un marché sans le savoir)
La vaccination qui, sans permettre de retrouver une ‘virginité’ et le pouvoir d’exporter’, aurait au moins l’ immense avantage de protéger les élevages, n’est même pas évoquée: pourquoi donc les Etas-Unis (avec un vaccin français) 2eme exportateur mondial de produits avicoles – 20% de sa production (avec des traitements interdits en Europe), la Chine (exportations en très forte hausse), le Vietnam, le Maroc ont-ils vacciné leurs cheptel en 2015-2016, et pas nous Européens sapiens? Il existe bien d’autres maladies qui sont autant de risques économiques pour les élevages contre lesquelles la vaccination est systématique : Gumboro, Mareck, Aujeszky. Mais combien de nos ‘décideurs’ seraient capables de décrire ces maladies? (de démasquer l’intrus?) et surtout, de m’expliquer la différence de réaction de l OIE (pas de jeu de mot, c’est l’autre sigle de l OMS) sur un plan sanitaire et économique face à ces menaces virales.
Il manque malheureusement quelques mots au dictionnaire de nos autorités et autres journalistes, qui se gardent bien d’éclairer notre lanterne: épidémiologie, virologie, mondialité (ce n’est pas qu’un gros mot à l’usage des capitalistes), plus quelques autres, dont élevage …Et aussi quelques talents de négociateurs dans instances internationales.
A l’heure des MOOC, dernière évolution pour la vulgarisation des connaissances dispensée dans le Cloud (nuage en français), je ne peux que les inviter à redescendre sur Terre, en même temps que les derniers canards en migration. Qui eux reprendront invariablement (tant que le réchauffement climatique ne les perturbe pas trop) leur vol au printemps, puis à l’automne, puis ….
J avais raison de ne pas adhérer.
Il va falloir trouver autre chose …

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L'influenza aviaire et nous …

Les modalités de lutte contre l’épidémie qui sévit dans le sud-ouest sont connues. Discutées, discutables, mais connues. Pour notre activité ‘produits frais’, ça va être un gros coup dur. Pourvu que le vide sanitaire soit efficace, et que Dame Nature nous épargne! Tout sera (c’est ce qui est prévu par nos bureaucrates) revenu à la normale après l’été. Ouf!

Je vais vous présenter la situation, vous présenter les solutions que nous mettrons en place pour que notre entreprise puisse rejoindre l’automne prochain en bonne forme.

L’influenza aviaire détectée en Dordogne, puis dans les Landes à finalement contaminé tout le Sud-Ouest. Tous les élevages ne connaissent pas les mêmes effets de cette pathologie très contagieuse entre oiseaux, mais finalement pas dangereuse pour les autres animaux (dont nous sommes). Très forte mortalité chez les gallinacées (adieu chapons, poulets, pintades), très peu d’effets chez nos canards dont on peu dire qu’ils sont porteurs sains: c’est pourquoi ils sont au coeur du problème. Pour les détails, je vous laisse consulter les sites spécialisés.

Toute la zone de production de foie gras labellisé IGP Sud-Ouest est concernée par les mesures prises pour arrêter la propagation du virus. Donc depuis début janvier, aucun élevage de palmipède n’est autorisé à mettre en production. Les animaux en élevage sont conduits normalement au terme. Lorsque tous les élevages auront terminé leurs bandes, ils seront nettoyés, désinfectés et respecterons un long vide sanitaire (on parle de 5 semaines) à compter de l’abattage du dernier lot. La reprise se fera, à condition que les élevages et les animaux soient indemnes, à compter de fin juin.

Ce qui devrait nous permettre d’être de nouveau approvisionnés en produits frais en septembre, octobre.

Les exportateurs de volaille vont retrouver le sourire en même temps que la France son statut de pays indemne d’influenza aviaire.

Ainsi, pour échapper à la maladie, la France à innové en s’en remettant à un vide sanitaire. Certes, le rôle du vide sanitaire est important. C’est tellement vrai que dans tous les élevages, c’est une des clé de la réussite. Je doute quand même de la garantie à court ou moyen terme. La péripétie coûteuse ne risque-t-elle pas de réapparaitre rapidement (dès la prochaine migration d’oiseaux sauvages) ? Personne n’en sait rien, mais tout le monde fait comme si: “ça va le faire !”.

L’option “vaccination” a été rapidement écartée par les pouvoirs publics. Trop cher, inefficace, etc, etc. C’est très discutable …

Le prochain vide sanitaire risque fort de s’appliquer aux petites entreprises celles qui ne font pas partie d’un de ces conglomérats financier-lobbyiste-agroalimentaires, comme la nôtre. Mais nous ne craignons rien, les courbes vont s’inverser, et nos élus seront réélus.

Et nous dans tout ça ?

Nous allons pomper comme les shadocks! refaire vite nos réserves de produits en conserve avant mi-avril, selon des prévisions de vente jusqu’à cet automne. Ca va employer toutes nos ressources financières bien plus tôt que le autres années. La trésorerie générée par les ventes de produits frais va disparaitre pendant 4 mois: justement ceux de la forte saison des magrets grillés. A l’automne, nous devrons remettre ça pour reconstituer un stock que d’habitude nous produisons en mai-juin: problèmes: on est déjà à pleine charge pour la fin d’année, comment faire? Embaucher? c’est pas possible. Travailler plus? on le fait déjà. Se lever tôt ! ça on sait le faire: 2 journées en 1, le rythme d’un décembre normal dès septembre: pourvu que ma carcasse me laisse tranquille. Le mode survie, pour avoir le droit de continuer à cotiser, le rêve quoi .

Parce que coté soutien, on ne peut compter que sur vous: nos clients qui n’allez pas aller acheter de produits transformés en France ou produits en France dans des élevages industriels de Vendée. Vous qui ne demanderez pas de magret ‘origine importation’ au restaurant. Parce que du vrai canard frais du Sud-Ouest, cet été, sauf à l’avoir congelé, il n’y en aura pas !

Et sur notre banque, à qui nous allons acheter de la trésorerie, qui n’ignore rien de la situation, et nous accorde sa confiance (au vu des bons résultats qui sont là depuis des années). Ouf!

Car le soutien des ‘pouvoirs publics’ ne s’est pas encore manifesté. Donc on va faire sans. En même temps, d’autres secteurs en ont plus besoin. De plus, c’est difficile d’avoir des précisions, y compris via le site du ministère (voir le communiqué officiel ici). A se demander si la vérité est bonne à dire … et si cette mesure exceptionnelle n’a pas été mise en place pour évacuer des stocks trop importants.

Nous nous efforcerons de trouver des solutions pour fournir en qualité: hors de question de transiger avec notre engagement pour un approvisionnement  exclusif en produits labellisés IGP Sud-Ouest. Nous sommes totalement solidaires de notre fournisseur. Aucun autre produit que celui que nous avons choisi n’entrera dans notre gamme. Nous essaierons de maintenir nos ‘Magret Party’, pour peu que nous puissions réaliser notre réserve de magrets, dans le respect des dispositions prévues au cahier des charges canard IGP Sud-Ouest.

Nous vous tiendrons bien entendu informés de l’évolution d’une situation très embarrassante dont nous nous serions bien passé. En attendant, soyez prévoyants et mettez à profit le mois de mars pour congeler quelques magrets pour vos grillades de cet été.